L’ENSEMBLE SCOLAIRE SAINT GABRIEL BRÛLE A BAGNEUX :
Implosion de la direction, 6 salariés victimes de harcèlement…, des élus du personnel et un groupuscule d’enseignants terrorisent les salariés. Mais qui dirige cet établissement ?
La rentrée scolaire 2018 – 2019 reprend sur le même tempo que s’est terminée la précédente : violence et menaces d’agressions, verbale ou physique, de salariés par un petit groupe d’enseignants, auto proclamé : « collectif enseignants » et des élus du personnel locaux.
Le directeur adjoint licencié pour faute grave, en raison de ses manipulations, le chef d’établissement remercié soudainement entre autres pour manquement à ses obligations de protection, alors que début juillet, il avait été confirmé dans ses fonctions par le Directeur Régional Adjoint, qui lui avait manifesté toute sa confiance.
Cette situation a débouché sur une mise en danger grave de 6 salariés, accentuant le « harcèlement » dont elles étaient déjà victimes et donnant bonne conscience à leurs maltraitants.
- Après avoir été victimes d’une direction d’établissement :
- minimisant la gravité de la situation pour ces six salariés.
- reconnaissant leur impuissance et demandant aux victimes de SE TAIRE, de laisser faire et de subir jusqu’au départ des enseignants en vacances d’été.
- ne respectant pas ses engagements de rendre leur dignité aux victimes en faisant entre autres une communication au personnel pour rétablir leur honneur tel qu’elle s’y était engagée par un écrit du Directeur Régional Adjoint à l’égard de chacune d’elles.
- remerciant une des salariés victime pour son « sacrifice », la qualifiant même de « lanceur d’alerte ». Tout en reconnaissant l’incapacité des Apprentis Auteuil à gérer ce type de situation.
Cette stratégie a débouché sur un sentiment d’impunité et de toute puissance de certains élus du personnel et du petit groupuscule d’enseignants
- Après avoir été victimes des délégués du personnel (CFTC/CGT) et de la secrétaire du CHSCT (CFTC) :
- ne respectant pas leur devoir de confidentialité et d’impartialité alors que la secrétaire du CHSCT avait insisté lourdement auprès de certaines victimes pour que celles-ci dénoncent par des écrits factuels, précis et ponctués d’exemples concrets, ce qu’elles vivaient pour qu’elle puisse agir et les protéger.
- diffusant des rumeurs, des propos mensongers dans le but d’inverser la situation et de faire passer les victimes pour des bourreaux.
- Encensant le directeur adjoint pourtant licencié pour faute grave alors qu’ils étaient conscients et informés des agissements malveillants de cette personne.
- Refusant d’écouter les témoignages des victimes dans le but d’étouffer leurs propres manquements et responsabilités.
III) Après avoir été victimes d’une minorité d’enseignants s’auto proclamant « collectif enseignants »
- parlant au nom de tous les enseignants.
- mettant à l’écart les six salariés victimes et tous ceux souhaitant rester neutre.
- insultant, diffamant et calomniant les personnes ayant osé dénoncer les agissements du directeur adjoint.
- mettant sous pression et menaçant des personnels afin de recueillir leur signature sur une pétition visant à soutenir le directeur adjoint et à salir les salariés victimes.
- s’acharnant sur ces personnes par le biais de mails injurieux, d’appels téléphoniques, de citations sur les réseaux sociaux, de tracts.
Nous dénonçons cette situation inacceptable et refusons de nous taire davantage pour que de tels agissements ne se reproduisent plus.
Nous avons fait le choix avec les camarades de créer une section syndicale sur le site et nous appelons tous ceux qui ne souhaitent plus se taire à s’organiser collectivement en nous rejoignant pour construire le rapport de force nécessaire afin que cette situation CESSE.